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compte rendu ->Dijon mars 2008 (photo video)


--MaX--

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Moi je pleure d'habiter si loin :sad:

vous m'avez donné envi :|

Bref, autrement, y a aucun courageux pour venir à st Marcelin???? Ce serait bon d'etre autant :D

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La distance ne doit pas être un problème :D

Regarde, Pitou et moi avons bien traversé la France entière pour y être, lui par la route, et moi en train... :sad:

Sinon, voici de la lecture...

Troisième partie : rien de tel que quelques tours de piste pour digérer…

Les premières sessions reprennent, j’ai le ventre plein (qu’il était bon ce barbeuc’…), et la tentation est trop forte. Voir tout ce p’tit monde tourner en piste, ça ne donne qu’une envie… y retourner !

Ni une ni deux, je me dirige vers Fifi qui s’apprête à partir de nouveau en piste après son accrochage du matin avec une Porsche qui a voulu faire le forcing. Je monte donc à bord de sa M3 3.2L berline, ex Greg. Un univers qui ne m’est pas tout à fait inconnu non plus, puisque j’ai déjà eu l’occasion de monter à bord (voire même de la conduire…) d’une E36 3.2L berline, bleu Estoril elle aussi, et avec le même intérieur en cuir blanc… Bref. Fifi s’engage sur la piste de façon tranquille, histoire de laisser chauffer sa titine. Pendant qu’il reste très concentré, j’en profite pour ressortir mon appareil histoire de garder ça en images. Je filme quelques instants (instants durant lesquels une 997 GT3 nous fait peur à Fifi et moi à la sortie de la cuvette, avec là encore, un dépassement bien trop osé) et range de nouveau l’appareil.

http://video.google.fr/videoplay?docid=-22...19118&hl=fr

La malchance poursuit mon pilote… Quelques tours plus tard, alors qu’on continue de s’amuser tranquillement, le train arrière commence à décrocher à la sortie du dernier gauche du circuit. Fifi tente alors de maîtriser la glisse à l’accélérateur, ce qu’il réussit momentanément à faire, mais cela ne suffit malheureusement pas à contenir l’auto qui décroche brutalement, nous fait faire un tête-à-queue et nous envoie dans le bac. Tous deux allons bien, on peut donc repartir une fois que tout le monde est passé. Enfin, c’est ce qu’on pense. Retour sur la piste, l’auto tremble fortement, Fifi joue alors la carte de la sagesse et décide de rentrer. Plus de peur que de mal d’ailleurs. Après un décrassage des roues, qui étaient pleines de boues (d’où les fortes vibrations, déséquilibre oblige) et un bon lavage de la voiture, tout rentre dans l’ordre. Malgré tout, l’auto restera derrière les stands durant le reste de la journée. Il y a malheureusement des jours sans…

Le temps de reprendre mon calme après ces quelques émotions, et je remonte dans une auto avec laquelle j’avais fait connaissance le matin, la fameuse discrète…

Elle porte bien son nom, car sous des airs assez sages (quoique…), cette demoiselle cache bien son jeu (et son pilote aussi). L’auto étant déjà chaude (Paul sortant de piste juste pour me prendre en sac de sable), il envoie donc la sauce tout de suite. J’avais découvert une auto douce, docile et silencieuse le matin sur la route, et je ne la reconnais plus du tout. C’est violent, ça chante, ça freine très fort, ça accroche… Bref, c’est un régal, vous vous en douterez. Quant à notre Paul national, il a un sacré coup de volant. En témoignent ces deux magnifiques bourres avec ACS3 puis Schoumms qui s’est vu surprendre au bout de la ligne droite. Croyez-moi, vécu de l’intérieur, c’était quelque chose… Et le truc, c’est que tout ça, c’est dans la boite. Un vrai bonheur de regarder ça à la maison.

La journée défile à la vitesse grand V. Et je dois dire que je n’arrive pas à m’en sortir comme je le souhaiterai dans mes photos et vidéos. Cette sortie est d’un tel niveau que je ne sais jamais où je dois être ni à quel moment. Bref, toujours est-il que j’essaye d’en profiter au maximum. C’est ainsi que peu de temps après être descendu de la discrète, Cyrille (grizzlyman) vient à moi et propose un tour sur les routes derrière le circuit dans sa superbe 325ci E46 cabriolet’, phase 2 et packée M qui plus est. De toute beauté… Un moment qui s’annonce d’autant plus sympa que ce sera l’occasion de pouvoir comparer la belle à la 330 paternelle que j’avais conduit peu avant. Contact, le moteur démarre dans une sonorité complètement différente de ce à quoi j’ai l’habitude avec la 330. Pas de KAD ici, mais la ligne Supersprint émet une musique des plus agréables. Idem, le temps de faire chauffer la mécanique, et Cyrille commence à accélérer le rythme. Premier constat : on sent de suite la différence de poids par rapport à la 330. Néanmoins, les 192ch, appuyés ici par une reprogrammation, se font quand même sentir. C’est sûr, quand on descend d’une M3 SMG-II, ça fait bizarre sur le coup, mais on s’habitude vite à la différence de puissance et à rouler sur le couple ou alors toujours dans les tours. Vient le moment de faire demi-tour et c’est là que Cyrille me propose de prendre le volant de l’auto. Quand on me connaît, on sait que je ne refuse jamais… Le temps de prendre les mêmes marques qu’à bord de la 330, et c’est parti.

C’est d’ailleurs un avantage que de conduire régulièrement le coupé paternel, car je me sens tout de suite en confiance au volant de la 325, et ressent également bien les différences en terme de poussée et de tenue de route (bah oui, 200kg en plus, ça ne passe pas inaperçu…). Toutefois, on arrive à passer les virages à des vitesses que je ne citerai pas, et à s’enrouler les quelques bouts de ligne droite à un rythme… politiquement incorrect. Bref, ce qui ressort de mes quelques instants au volant de ce cabriolet’ 325 E46 en compagnie de son très sympathique propriétaire, c’est que pour celui qui, pour une raison x ou y, ne veut pas s’acheter de 330ci, mais désire quand même un minimum de puissance et aime rouler cheveux au vent, cette 325ci cabriolet’ est un excellent compromis. Encore merci Cyrille pour ta confiance.

Faut maintenant se remettre au boulot. Car les photos ne vont pas se faire toutes seules… Alors j’enchaîne, j’enchaîne, encore et encore, jusqu’à devoir changer la batterie de l’appareil que Mika m’a prêté. Bref, je shoote tout ce qui bouge. Et c’est alors que… j’ai quand même envie de tourner une dernière fois en piste… Chanceux que je suis, Greg ne va pas tarder à repartir. Je retourne donc chercher mon casque et me voilà à bord de l’avion made by SoLo.

C’est encore un autre monde que la M3 ou la GT3, c’est également très différent de ce que donne une M5 E39 affûtée sur route (j’ai « l’habitude » si on peut dire ça ainsi, de celle de Mika sur les routes bretonnes), et c’est donc pour ça que je profite pleinement de l’instant.

Et je dois dire que je suis à nouveau impressionné et séduit par cette berline de 1800kg qui donne du fil à retordre à quelques autos comme une 993 RS par exemple… C’est vraiment du lourd cette M5. Elle marche fort, freine comme il se doit (pas comme une M5 d’origine quoi…), tient le pavé comme pas possible, chante vraiment bien (ah ce V8, toujours aussi bon), et qui plus est, les baquets dans cet habitacle de berline familiale, c’est vraiment le top… Bref, félicitations Greg !

Voilà, l’heure continue de tourner, et la fin de journée approche. Mais pour le moment, savourons ces délicieux moments en images…

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Et voilà, la suite au prochain épisode...

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Oui. :D

Car sur certaine photos je trouvais qu'elle prenait pas mal de roulis (jante arrière par rapport à l'aile).

Quand on est dedans on ne se rend pas compte ce que cela peut donner dans de gros appuis.

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Je me suis fais la même réflexion que toi en voyant ces photos, surtout en les comparant aux autres. Je n'arrive toujours pas à me l'expliquer, si quelqu'un a une idée...

:D

Fin de la caméra embarquée en GT3

http://video.google.fr/videoplay?docid= ... 8428136502

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Une des explication vient cetainement du fait que la plupart de ces photos sont prises alors que je roulais "surgonflée" (3.6kg dans chaque roue :D ) puisque je n'ai appris qu'en fin de journée qu'il fallait changer la pression

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Oui, c'est ce qu'on m'a dit qu'en je suis rentré au stand en disant "C'est bizarre ma caisse ne tient pas le parquet aujourd'hui! Plus je tourne, pire c'est! :D "

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3.6 à chaud ça fait beaucoup. Tu avais combien à froid ?

Ca m'étonne tout de même que cela joue à ce point...

Merci au fait pour les vidéos, c'est toujours du bonheur.

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2.2 et 2.4 comme c'est préconisé.

Je ne sais pas si ça influait beaucoup sur la prise de roulis, mais sur l'adhérence ça n'avait plus rien à voir. Le matin c'était "drit powaaa" dans la dernière courbe :D

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