Paul Posté(e) le 1 octobre 2005 Signaler Posté(e) le 1 octobre 2005 Va donc lire ce sujet : http://lattention.com/article.asp?ArtID=9&lk=sexe Je pense que ça va te refroidire. :/ Je savais que l'industrie du sexe était une affaire louche, mais à ce point ... J'attends vos commentaires.
Invité Tom SMGII Posté(e) le 1 octobre 2005 Signaler Posté(e) le 1 octobre 2005 J'ai tout lu... Ca ne me donne plus envie de faire hardeur quand je serais grand Franchement, cette industrie du cul a ce niveau est immonde. On est loin du petit film amateur bien gentil.
RUIM3 Posté(e) le 1 octobre 2005 Signaler Posté(e) le 1 octobre 2005 clerc c'est vraiment horrible comme milieu dont la femme est toujours la victime
Dr-No Posté(e) le 2 octobre 2005 Signaler Posté(e) le 2 octobre 2005 Je ne pense pas non plus qu'il faille généraliser , c'est sur que des comportements comme ceux cités existent mais je pense pas que dans des pays comme la France, le porno soit si "hard"
usualpierrot Posté(e) le 2 octobre 2005 Signaler Posté(e) le 2 octobre 2005 Ca concerne plus a mon avis cette nouvelle fomre de porno qui est apparue il ya peu de tps (je crois qu'il y a eu un article ds le parisien) qui sappelle "gonzo", film d'une vingtaine de minute ou il ya un decor minimaliste et aucun scenario (ok même ds les film ricain avec leur star du porno, le scenar est léger mais c'est ca qui est marrant !) . Il prenne un actrice et un acteur ou plus ca leur coute au maxi 5000 € et hop apres il vende ca a des societé qui le diffuse sur net par service payant. on se demande même pourquoi il n'ya aucune poursuite contre certaine video qui font subire des truc aux filles où faut as etre sensible ! Et c'est tres rentable, cest eux qui cassent les filles , et montre le prono crade, en leur faisannt faire n'importe quoi. Alors que certain producteurs americain s'efforce de produire des films de qualité (gros budget, filles respecté et bien payé et surtt sans aucune pression pr joué ds ces films) mais ces producteurs sont malheureusement de plus en plus rare.... Voila !
uzi6 Posté(e) le 2 octobre 2005 Signaler Posté(e) le 2 octobre 2005 Ah content qu'on aborde ce sujet sur M-passion : ya quelqes années j'avais fait la rencontre d'une fille qui débutait justement dans ce milieu : alors à l'époque c sur, je m'imaginais pas quelles pouvaient être les conditions des femmes et des hommes sur ces tournages : je pensais que c'était relativement sympa comme milieux quoi ( finalment quel jeune homme n'a pas eu envie d'être acteur porno ). Et en fait en discutant avec cette fille ( sisi c possible elles savent parler aussi ), elle m'a effectivement raconté ce qu'elle avait vu sur certains tournages et elle m'a même proposé d'y venir pour voir : moi jeune homme dans la force de l'âge g foncé : et ce que g découvert c effectivement a peu prés ce qui est décrit dans cet article ( en un peu moins violent quand même c sur ) : les mecs et les filles qui font çà sont des vrais machines : çà m'avait assez choqué à l'époque et depuis ce temps là c vrai que j'ai beaucoup de mal à regarder un film porno : çà me rappelle exactement ce que raconte le mec. Quoi qu'il en soit essayé de choppé ce doc, "Shocking Truth" : Vachement prenant et marquant : on devrait d'ailleurs le diffuser sur une chaine hertzienne, çà calmerait beaucoup d'hommes à mon avis.
Gilles_M3.00 Posté(e) le 2 octobre 2005 Signaler Posté(e) le 2 octobre 2005 On en revient toujours au même chose. La vision du virtuel et de la réalité. On voit un enchainement de scène. Et ensuite on essai de le reproduire. que ce soit le porno ou les films de voiture à grand coup de spectacle. on en oublie les envers du décor. Aujourd hui grace au DVD on voit les scènes coupées, les macking off. Et a ce moment la on voit que pour sauter sur un bateau il faudra au réalisateur 3 mois pour une scène de 30 secondes. Alors le jour ou il mettront l envers de décors dans les DVD porno, peut etre que l on avancera un peu.... Nignt ton article a de quoi faire réfléchir .... C est ca l etre humain besoin de reve pour oublier la réalité. Alors que la réalité pourrai etre un reve si il savait s y prendre.
LATINA Posté(e) le 2 octobre 2005 Signaler Posté(e) le 2 octobre 2005 y a vraiment des choses choquantes qui se passent mais ce qui me choquent le plus c'est la république chèque... des guosses d'à peine 9ans sont déjà sur les trotoirs ! les landos sur les trotoirs signalent les ménages où on prostitue les bébé !!! Il suffit de rentrer et la mère demande qu'elle guosse on veut et si on demande s'kon peut faire avec, elle répond qu'on peut tout faire avec. Des enfants de 10 ans vont déjà passer des tests VIH... Mais le pire, c'est qu'une prostituée en ceinte peut vendre son guosse avant la naissance pour 2K€ j'crois... a la naissance les gens viennent et l'emportent pour tourner des films pédophiles. Je suppose qu'ils s'en débarassent après. D'ailleurs, depuis que la RT est en UE, un nombre incroyable de touristes passent la frontière... pour profiter des "joies" tchèques (Vue dans capital ou zone interdite après les deux premiers épisodes de Matrioshki si mes souvenirs sont bon et c'étaient édifiants)
Kivlov Posté(e) le 3 octobre 2005 Signaler Posté(e) le 3 octobre 2005 voici la réponse de John B. Root à ce texte (je n'indique pas le lien, st'un peu hot quand même ^^) : Journée de grand nettoyage au bureau. Nettoyage par le vide, d’abord. C’est quoi, ça ? Personne ne sait ? Poubelle ! Puis javelisation, aspirateur et balai brosse. Allez zou. De l’air, du vide, du blanc. La querelle des anciens et des modernes est révolue, place au neuf, travaillons dans l’esprit du zen ! Journée de grand nettoyage dans ma tête. Nettoyage par le vide d’abord. C’est quoi ce souci ? Il sert à rien ? On le jette. Puis action, réaction et énergie. Allez hop, écrasons la vérole et les cafards, pensons positif. Tenue de combat. Chargez ! Euh… T’y crois, toi ? Chais pas…. On fait comme si en tout cas. … Je voulais que ce blog reste un lieu léger, loin des drames et des faits de société. J’avais pas envie d’en parler. Le lien traînait dans mon courrier et j’évitais d’y penser. C’est Klute, le premier, qui me l’a transmis en me disant laconiquement : « Tiens, ça va te plaire. » Puis, successivement, Daniel, Françoise, E.P, en me demandant ce que j’en pensais. Et merde. Ils ont raison. Je suis pornographe de profession, c’est donc mon boulot de m'expliquer là-dessus. Je parle du papier d’Isabelle Sorente, dans « L’Attention », « Gang bang. La pornographie, bagne sexuel industriel ». Allez lire si vous voulez. Le papier est une charge hystérique et fantasmatique ( en ce sens qu’il n’a aucun rapport avec aucune réalité constatée, vécue ou observée par son auteur) contre la pornographie, qualifiée dans son ensemble, d’industrie charcutière, de « bagne moderne », de « processus de déshumanisation de milliers d’hommes et de femmes ». La charge de madame Sorente prend pour point de départ un documentaire intitulé « Shocking Truth ». Ce doc, que je n’ai pas vu, décrit un porno violent, misogyne, destructeur et fait le portrait de filles broyées par les pratiques barbares de la pornographie industrielle. Madame Sorente brode complaisamment sur ce canevas, avec, comme présupposé, que TOUT le porno est assimilable aux horreurs décrites dans le documentaire… Aïe. Nous y revoilà. Encore et toujours. La manipulation et l’hystérie au service de la lutte contre la pornographie, en faveur d’un ordre moral d’autant plus pervers qu’il se dissimule sous les habits du féminisme, des droits de l’homme et de la recherche d’un plaisir « naturel ». Faisons court. Je baille déjà. Je suis, comme l'est certainement madame Sorente, effaré par la laideur de certaines pratiques couramment vendues dans des cassettes de sex-shops. Les gang-bangs à la chaîne me dégoûtent, la zoophilie n’est pas franchement ma tasse de thé et j’ai une sainte horreur de toute sexualité qui ne me semble pas librement consentie ou qui prendrait, pour plaire au côté obscur du spectateur, des apparences de pratique non consentie. Je suis bien conscient que mon porno « angélique » et rassurant n’est pas la norme et je n’ai donc aucune envie de défendre le X dans son ensemble. Pourtant, encore une fois, les arguments anti-porno me semblent tellement plus dangereux et manipulateurs que le porno lui-même que je me sens obligé de réagir. 1. Je n’ai jamais prétendu et je ne dirai jamais que l’industrie pornographique est un paradis inoffensif. J’ai déjà parlé ici et ailleurs de porno laid, de porno indéfendable. Ce porno-là est très minoritaire économiquement , il ne concerne que le marché des sex-shops et en aucun cas les « gros » marchés de la télé et de la grande distribution, mais il existe. Mais, même dans ce porno-là, on ne viole pas les filles. Annabelle Chong, Angela Houston, Candy Appels ne se livrent pas à leurs record de gang-bangs sous la contrainte. Personne n’a forcé Rafaella Anderson à aller faire des double pénétrations chez Pontello. Elle l’a fait par choix. 2. En dix ans de pornographie, après avoir côtoyé et travaillé avec une bonne part du X européen, je n’ai jamais vu ni entendu personne me faire part de pratiques violentes, agressives, de filles forcées, blessées sur un tournage. JAMAIS. 3. Des pratiques douloureuses ? Oui, j’ai vu des actrices faire « ouille » durant une anale ou une dp, c’est vrai. Mais on se fait BEAUCOUP moins mal dans le X que dans n’importe quel sport (sans même parler des sports de haut niveau où on se bousille vraiment) ou que dans n’importe quelle discipline physique. Demandez à une danseuse dans quel état sont ses pieds et ses ligaments croisés après une représentation... 4. Je ne sais pas de quels abus parle le documentaire « Shocking Blues » et, encore une fois, je suis certain que ces abus ne sont pas inventés. Vous vous souvenez du courrier de la petite actrice française que j’ai publié ici il y a quelques semaines ? A Los Angeles, elle ne fait que du hard extrême et elle trouve ça dur. Ce que je sais, c’est que les droits de l’homme et les libertés individuelles sont au moins aussi bien défendus aux Etats-Unis qu’ici. Si le porno dans son ensemble était une salle de torture et si, vraiment, de telles entorses à la dignité et à l’intégrité physique des actrices étaient la norme, elles seraient l’objet de procès acharnés et médiatiques. 5. Bien sûr, il y a des cas sociaux, des destins brisés, des cas psychiatriques dans le X. Où n’y en a-t-il pas ? Des diatribes alarmistes comme celle-ci, je pourrais vous en pondre à propos de n’importe quelle collectivité humaine. En Afrique, dans les pays arabes, en banlieue parisienne, dans le monde de l’entreprise. Quand on veut tuer son chien, on l’accuse de la rage. Il suffit de ne désigner que les cas extrêmes et de prétendre qu’ils sont représentatifs de la réalité ordinaire. Ne parler que de la zoophilie, des snuff movies, de la pédophilie, du porno poubelle et affirmer qu’ils sont représentatifs du porno dans son ensemble. Je pourrais vous faire un papier qui ne relaterait que des affaires de viols parentaux, d'abus d'autorité sur des mineurs, d'enfants battus et conclure qu'il faut interdire la vie de famille. Madame Sorente fait même mieux que ça, elle glisse dans son texte un chapitre sur la torture et un laïus sur la guerre en Serbie. Quel rapport ? L'amalgame relève de la pure malhonnêteté intellectuelle. 6. Madame Sorente serait mieux habilitée à prendre la parole sur ce sujet si, au lieu de haranguer sur la foi d’un documentaire aux sources incontrôlées, elle avait pris la peine de faire le minimum de ce qu’on attend d’un journaliste : rencontrer les gens dont elle parle, les interroger, observer, se renseigner. Elle est cordialement invitée sur tous mes tournages. Nous la recevrons et nous répondrons à toutes ses questions avec grand plaisir. « Aussi dérangeant que cela puisse être, derrière chaque vagin, chaque bouche à pipe, chaque anus, derrière chaque trou rempli de foutre, de doigts, de poings, de centaines de bites d’affilée, se cache un être humain. » Ce qu'on regarde dépend des yeux, madame Sorente. Ce n'est pas le sujet de votre papier, c'est le regard que vous posez sur ce sujet qui est d'une grande saleté. Pardonnez-moi, mais à vous lire, il semble bien que ce soit vous qui ayez un problème. "Un être humain, un corps qui, souvent, saigne entre les scènes. Qui s’évanouit pendant les plans coupés. Qu’on redresse tant bien que mal pour l’éjac finale dans la gueule. " On est en plein délire fantasmatique... Cela dit, et pour nuancer le débat, je suis parfaitement d'accord avec la proposition qui termine ce papier. "Créer un observatoire destiné à veiller au respect des personnes humaines employées sur les tournages." Comme je demande depuis toujours que le CNC intervienne et considère enfin le X comme un genre audiovisuel "normal" s'il respecte un cahier des charges déterminé... Qu'on en finisse avec l'ombre, le malaise et l'hystérie.
usualpierrot Posté(e) le 3 octobre 2005 Signaler Posté(e) le 3 octobre 2005 Comme je demande depuis toujours que le CNC intervienne et considère enfin le X comme un genre audiovisuel "normal" s'il respecte un cahier des charges déterminé... Qu'on en finisse avec l'ombre, le malaise et l'hystérie. Comme ca la transparence serait la et on n'accusera plus le porno à tord... Heureusement qu'il existe encore des realisateur qui ont encore un ethique, même ds le porno...
zaix Posté(e) le 5 octobre 2005 Signaler Posté(e) le 5 octobre 2005 en fait je pense que d'un coté ou de l'autre c'est exagéré .... il y a des abus je ne le cache pas, mais je ne pense pas que le "porno Canal+" peut être comparé au pseudo amateur qu'on peux rencontrer aux USA ou des les pays de l'est .... Je n'ai pas la solution, mais en fait je ne suis même pas étonné de ce qu'il y avit d'écris dans le document d'Isabelle Sorente, on vis dans un monde de dingues, et le monde je le parcous de long en large je sais de quoi je parle ...
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