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Nowack


M3LELENA

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Un autre préparateur à ajouter sur la liste..

les réalisations les plus connues de ce préparateur: une M3 400ch sous la dénomination N400 (N pour Nowack) (la voiture etait à Paris semble t il avant de s'envoler pour le moyen orient..on s'en serait douté) et une M5 500 ch N500. le tout atmo bien sûr..

A retrouver dans vos archives BMW world l'essai de ces 2 modèles (j'ai plus les numeros en tête)

j'ai testé : les arbres a cames pour 328 E46 et la 540 avec arbres a cames..

Le boss Mr Oliver Nowack est super sympa, tres accessible, bon les tarifs c'est de la prépa allemande mais ca vaut le coup :+1:

a voir sur le site: les videos de la Z8 N500

www.nowack-tuning.de

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J avais lu a l epoque l essai dans option auto de la N400 et c est vrai que le travail effectué sur cette auto etait impressionnant , ils ont revu tout le blocs pour arriver a cette puissance , piston vilo etc du travail de pro c est certain , effectivement si quelqu un a cet article j aimerai bien le relire

de meme sur le net j avais lu l essai de la N500 et les journaliste etaient bleuffé par tant de puissance :?:

a relire en urgence :+1:

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Je viens de fouiner dans mes archives,je l'ai sous les yeux l'article.C'est cxn,j'ai pas de scan :sad:

Quelques chiffres:503 dadas,0-100:4,7s/0-200:14,6s/1000 D.A:22,5s/V Max:317 km/h :+1::?::x

Je crois que lui il doit pas etre loin de mettre tout le monde d'accord!!! :neutral::nickel::oops:

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Une phrase à la "Option Auto" pour présenter Nowack au passage:

"Nowack invente des machines de guerre,surpuissantes,monstrueuses,démoniaques.Mais oublie les adjectifs pour les définir.Superlatifs ou exclamations,les mots me manquent..."

:+1::?::x

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J ai trouvé ça pour la N500 :

Absolutely fabulous – Une bombe M5 de 503 ch !!!

Nowack invente des machines de guerre, surpuissantes, monstrueuses, démoniaques. Mais oublie de fournir les adjectifs pour les définir. Superlatifs ou exclamations, les mots me manquent…

Je ne vous présente pas la M5. Cet outil munichois que les riches et belliqueux pères de familles s'amusent à emmener vite, loin, dans l'anonymat le plus complet. D'aucuns, motivés par le seul et noble désir de créer l'ultime objet de convoitise, développent des versions encore plus rapides, encore plus puissantes, encore plus sûres, simplement "plus" ... Nowack, société allemande tout autant habilitée à préparer des 406 Hdi que des BMW dopées, est de ceux-ci. L'affaire se trame au cœur de locaux immaculés, que ne renierait pas un bureau d'étude de constructeur. Ici, cinq braves gars, pour certains ingénieurs font fi de toute considération rationnelle, avec leur passion pour seule motivation. Quand, d'arrache-pied, ils bossent six mois sur un projet, naissent des péniches de 4,78 m, de noir vêtues, campées à ras le soi sur des bottes de sept lieues, et nanties de poumons qui essoufflent les miens. La voiture que vous avez sous les yeux, et qu'avant mes collègues européens j'ai eu l'opportunité de conduire, n 'a plus rien de commun avec le concept automobile tel que nous le pratiquons au quotidien. Certes, sa relative sobriété esthétique, en tous points conforme à la version de série, peut passer pour de la timidité. Mais son pouvoir, sa force, son âme, sont d'une autre étoffe. De celle des héros, penserait-on bien pompeusement, oubliant qu'il ne s'agit, encore et toujours, que d'une vile machine montée sur roues. Les tripes et le myocarde du conducteur occasionnel, de leur côté, pensent autrement. Les fidèles d'Option Auto me savent dithyrambique au contact de bêtes de la route. De rares fois par le passé, j'ai testé des autos laissant un souvenir impérissable. La M3 H&H Provos, la Super 5 GT Turbo GT Tuning, la Ruf Turbo R, ou, plus récemment, la Série 3 Hartge à moteur M5. La de cette trempe. Tel un jeu découvrant le plaisir, j'ai quitté avec un sourire en banane. C dire : elle m'a ému ...

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Riez, gondolez-vous, fendez-vous la poire à qui mieux mieux si cela vous chante, comme certains gueux de la rédaction à la simple vue de ma trombine après cet essai. N'empêche, mes p'tits loups, moi, j'ai mis mes fesses dans la bestiole. Y laissant, du même coup, quelques gouttes de sueur, quelques larmes et un ersatz de dentier Sans froufrous ni falbalas, sans trompettes ni grosse caisse, la M5 Nowack Auto+Sport revendique 503 ch... Vous avez bien lu, et je l'ai bien senti ... Pour ce faire, le gros V8 de 4,9 litres s'est vu greffer une admission complète avec filtre sport et conduits spécifiques, un double Vanos maison, un échappement inox (sans suppression de catalyseurs) et une électronique au poil. Entre autres carabistouilles rigolotes, vous prendrez le soin de relever que le rupteur est déplacé de 7 à 7 600 tr/mn, que la TV fonctionne désormais en roulant et que le limitateur, castrateur s'il en est, est passé aux oubliettes.

Un point que je n'ai pas manqué d'intégrer, autant excité qu'apeuré à l'idée d'approcher la vitesse maximale de l'engin. D'aucuns, bien informés, annonçaient la version de série à près de 292 km/h. La Nowack, gentiment, filoche à 315 chrono ... Les raisons de mes pleurs, de mes émotions, de mon vibrato de tripailles ? Dans le désordre, le ronron, Ie hurlement, la symphonie et le miaulement de chatte dépravée. La douceur, l'onctuosité, la souplesse, la violence et la rage. Le confort, le silence, la douceur, les glissades et la force centrifuge, sensible. Culture du paradoxe ? A coup sûr. C'est là que cette lourde, très lourde berline, excelle, sans concurrence possible. A la différence de bien des sportives pour lesquelles concession est affaire de trahison, la Nowack met sa technologie et sa force au seul service de son conducteur. A bord, le silence règne en maître. Ralenti calé sur un imperturbable 600 tr/mn, sellerie cuir moelleuse, embrayage doux comme une fesse d'adolescente (bien que résistant à 72 mkg de couple ... ), suspension inquiète pour vos vertèbres, l'ambiance est au serein. Maman veut faire des courses ? Aucun souci. ESP en branle avec un pack de 12 oeufs sous le pied, la M5 se conduit comme un vélo pendant que les marmots profitent du dernier épisode des Schtroumpfs en Tanzanie. Papa, débranché, veut tourner à Hockenheim ? Qu'il fasse.,..

Sans aucune modification, sans même changer de pneus (des Yokohama AVS particulièrement tolérants ... ), le bête passe de la piste à l'autobahn avec bonheur. Quand certaines profitent d'étriers à 4 pistons sur le train avant, la bavaroise en embarque à l'arrière. Pincés par des plaquettes mixtes course/route, les disques façon plat à tagines n'ont de freins que le nom. "Grappin" leur conviendrait mieux. La suspension, développée par Eibach et Sachs spécialement pour l'auto, combine avec un talent certain tenue de route et confort. Faible roulis (barres gros diamètre), grip conséquent, garde au sol suffisante, la coupe est pleine. Le débordement, obligé, survient quand l'envie vous prend d'ouvrir les gaz. Les premiers tours de roue, sur le chemin du site photo, je les ai fait à côté du très accorte Stefan Goldschmidt, directeur des ventes et chef RP chez Nowack.

Je vous le dis tout de go: si d'aventure vous essayez un jour une auto velue, ne vous laissez pas promener, avant de prendre le cerceau, par un expert de la marque, pilote à ses heures perdues, et fort de 7 ans d'expérience chez Brabus... Ma bouille épanouie ayant visiblement plu à l'animal, j'ai eu droit à la panoplie pour néophyte hexagonal : travers, burns, gros freinages, coups de gaz intempestifs, etc. N'étant pas du genre à m'en laisser montrer par un espiègle conducteur, c'est non sans une certaine excitation que je lui ai arraché le plip des mains, histoire d'aller mettre un peu de gaz. Claquement de porte sourd, sièges, volant et rétros réglables électriquement... bien installé, j'ai doucement attaqué par un parcours urbain.

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Là, première surprise : je roulerais en 530d, les sensations seraient comparables. Seul le caverneux de l'échappement, presque agressif au. tympan lors des sous-régimes, appelle un minimum de maintien. A peine commençai-je à assimiler le fonctionnement du GPS que la sortie de la ville m'apparut telle la sainte vierge. Mettez vous à ma place l'espace de deux secondes. Vous êtes sur le deuxième rapport, à 70 km/h, là route est libre à perte de vue et vous supposez avoir 503 ch tapis un mètre devant vous. Vous faites quoi ? Vous ouvrez, on est bien d'accord. Et vous commettez l'erreur du bleu de Bresse trop fraîchement sorti de l'affinoir... En seconde à 60 les gars, c'est sucette. Comme je vous le dis. A 4.000 tr/mn le couple maxi (64 mkg ... ) est atteint depuis 400 tr déjà, et cela se sent. Les dociles pneus japonais digèrent votre enthousiasme dans un crissement d'émoi, aussi enchaînez-vous la troisième, vu que vous pointez à 1 00 km/h. Erreur de nouveau ! Le tableau de bord crépite comme celui d'un Airbus en perdition, ESP, ABS, DSC, ASC+T, que sais-je encore, suppliant votre clémence. Sur les trois premiers rapports, ça patine, ça se gondole, ça dérive. Qu'on se le dise. Avec l'arrivée sur l'autoroute, les choses se gâtent. La parabolique d'entrée se négocie sur des blancs en neige, un stock d'ave maria en bandoulière. La voiture en ligne, enfin, je m'autorise le gros pot de sauce piquante. Mon Dieu... Pratiquant ou non, on se surprend à apprécier d'avoir été baptisé. Ce bruit, mes enfants... Pour la première fois, je suis dans un tambour de machine à laver le linge. Hurlant, claquant, sourd, oppressant, le V8 catapulte plus qu'il ne pousse. Jusqu'à 6.000 tr/mn, en tous cas. Avant, c'est le séisme. Au-delà, c'est le cataclysme. Jusqu'au rupteur, la M5 se fait moto. Elle miaule, crie, bouillonne, au point que le bitume plisse sur son passage. Je vais déjà tellement vite que je me mélange les pinces dans les commodos. Une nouille en gelée débotte à 170 avec sa S500 raide de neuve. Tu te pousses, triple buse ! A cette allure, pour info, je croise en troisième...

Quelques coups de soleil au Xénon plus tard, le trublion étoilé s'est rangé docilement. Du coup, jonquille à toc. Cette fois, je refuse d'y croire. La quatre monte à 230, avec cette facilité qu'ont les voitures du quotidien à s'arracher d'un feu rouge... Je frôle l'infarctus quand en posant la cinq, en courbe à droite, le témoin d'ESP clignote. Les sucettes à 235, je gère pas! En une minute d'autoroute, j'ai cru mouiller mon caleçon, ne jamais revoir la femme de ma vie et trépasser ancré sur le coffre d'une Mercedes. Ça va trop vite, d'autant que je filoche désormais à 270 km/h. Machinalement, je monte la six, remerciant BMW de ne pas disposer de boîte 7, en espérant connaître un moment de répit... sans succès. Sur le dernier rapport, que vous me croyiez ou non, ça pousse encore. Pas doucement, avec du couple. Ça pousse fort, avec souffle, avec hargne, au rythme des inépuisables gamelles. Fatigué, je lâcherai à 305 compteur pour 300 réels, dixit le chrono. Rassurez-vous, elle montait encore, et facilement. Aussi vais-,je croire Nowack qui annonce 315 efficaces à 325 compteur. Jouant avec mes nerfs, redoutant qu'un rare usager ne traverse trois files pour renifler la mienne, j'ai alors sauté sur les freins, comme un coureur après un sprint.

Pensant revenir sur terre, j'ai ressenti mon deuxième et dernier malaise de la journée. 4 étriers à 4 pistons, d'un rapide calcul sur mon boulier en bois tamoul, ça fait 16 ch’tis vérins qui vous accrochent par terre. Et moi de comprendre, aux écarts du train arrière dans cette inoubliable courbe rapide doublée de raccords saillants, qu'on ne passe pas de 300 à 120 avec une propulsion de 1,8 t, même chaussée en 19", sans manquer de voir les quatre sorties inox passer devant. De retour auprès de mon fidèle Yannick, qui s'impatientait un peu sur son aire de parking, j'ai pu reprendre mes esprits. Une question subsiste, pourtant, hantant mes nuits: si j'ai vécu un baptême, au volant d'une bombe, plus qu'un chant du cygne sans lendemain possible, que vais-je essayer ces jours prochains?!

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Et pour la N400:

C'est la première BMW tunée à faire son entrée sur le site et ce ne sera sûrement pas la dernière tant les préparations de haute volée sont légion outre-Rhin. Les préparateurs - ou plutôt devrais je dire les constructeurs puisqu'ils sont assimilés par le TUV - ont rivalisé de talent ces derniers mois pour sortir leur version modifiée de la BMW M3 "2001". Option Auto nous en dévoilait la crème dans le numéro de mai. Parmi celles-ci la version revue par Hartge cachait un V8 de M5 avouant 460 chevaux. Hélas, Hartge qui est d'habitude si innovant l'avait déjà fait en 1999 sur une 323 Ci avec des performances atomiques à la clé. Cela n'enlève rien au crédit du meilleur préparateur BM actuel mais on pouvait logiquement s'attendre à une évolution du 6 en ligne ; chose qui arrivera tôt ou tard à mon avis.

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Mais qui va oser s'attaquer à cette satanée M3 ? Comment peux-t-on améliorer le rendement d'un moteur déjà poussé à l'extrême par les ingénieurs de Motorsport ? C'est fort logiquement Nowack qui s'y colle. En effet, ils avaient déjà sorti 100 ch/l du 5 litres M sans recourir à la suralimentation, bel exploit. Évidemment, cela passe par le démontage du moteur, le remplacement de toutes les pièces mobiles ... Il convient de revoir dans le même temps l'alimentation, l'échappement et la gestion électronique. Cette recette a été appliqué avec succès au bolide munichois qui revendique maintenant 404 chevaux à 8300 t/min. Ce qui, ramené aux 3.2 litres de cylindrée, garantit un rendement titanesque de 125 ch/l ! Motorsport avait poussé cette mécanique vers les sommets et Nowack la soulève vers les cieux.

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